Top Passeur : Adrien Thomasson nouveau leader !
Ça bouge sur le podium du classement officiel des passeurs de la Ligue 1 McDonald's ! Alors qu’il occupait la première place depuis plusieurs semaines, le Lillois Félix Correia rétrograde au quatrième rang, doublé par trois joueurs que la 8e journée a particulièrement inspirés.
Un doublé pour le nouveau leader
Infatigable au milieu du terrain (13,15 km parcourus contre le PFC - 2e meilleure performance de la saison), Adrien Thomasson fait également apprécier la précision de son pied droit en ce début de saison. Dimanche, le capitaine du RC Lens a guidé les siens vers la victoire en signant les passes décisives sur les deux buts de son club face au Paris FC (2-1). En signant son 3e doublé à la passe en Ligue 1 McDonald’s, l’ancien Strasbourgeois a confirmé son excellent début de saison avec des Sang et Or désormais quatrièmes du classement.
Avec un total de 5 offrandes (dont 3 sur coup de pied arrêté), il subtilise le badge de Top Passeur au Lillois Correia. En seulement 8 journées, il a déjà égalé sa marque de la saison dernière (5 passes décisives en 33 matchs). Meilleur passeur actuellement en activité dans le championnat (47 unités), Thomasson part sur des bases élevées, lui qui possède un record à 7 passes décisives sur une saison de Ligue 1 McDonald’s (en 2018/19 et en 2022/23).
Ilan Kebbal nouveau dauphin
Vraie révélation de ce début de championnat avec le Paris FC, Ilan Kebbal s’est, de son côté, emparé de la deuxième position en délivrant sa 3e passe décisive sur la réalisation de Pierre Lees-Melou, à Lens. Avec 4 buts et 3 passes décisives, le Parisien est le deuxième joueur le plus décisif de Ligue 1 McDonald’s après huit journées, à égalité avec le Strasbourgeois Joaquin Panichelli, Top Scoreur avec 7 réalisations. Seul le Marseillais Mason Greenwood fait mieux avec ses 6 buts et ses 3 offrandes.
Bilal Nadir complète le podium du classement des passeurs avec également 3 unités. Ayant, comme Correia, délivré ses 3 passes dans le jeu et au cours de 2 matchs, il devance le Dogue au temps passé sur le terrain (199 minutes contre 559), troisième critère pour départager les égalités.
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